How could this experience could go better? Mixing tourism and my passion for cars with friends is by far the best thing I lived here in Canada.
A friend of my family lend me his car: a 2008 Maserati Quattroporte Sport GT S 4.2 V8 DuoSelect. A long name to say, “pure joy”.
A car like this is awfully wrong… But God it’s good… Credit : Wheelsage
Our trip started in Matane and ended up in Percé, with stop at Sainte-Anne-des-Monts and Gaspé.
Of course, we did not made the whole trip in one day. We took our time to visit cities but the most interesting part for me was about driving.
This car is just so… weird?
In fact, this car is just everything you want to avoid. It’s unreliable, practicality is quite mediocre, and the ergonomics are just awful. The handling however is quite good, but the DuoSelect gearbox is a complete mess. It’s jerky and every single shift is bumpy if you try to go sporty, it’s tremendously slow… But you forgive everything as soon as you turn the ignition switch. The 4.2-liter V8 comes to life in a beautiful melody. But the most impressive is how it sings in sport mode… It’s just indecent.
Each time the engines goes in the revs, the V8 screams up to 7.500 rpm, pushing all of its 400 horsepower… And the beauty of this music makes the gearbox nearly useless. I did not played with shifting up and down… I stayed most of the time between 3rd and 4th gear, having fun with the engine. Making it growling from the slowest rpm possible and letting it screaming all of its rage in the upper rev range.
The most beautiful road of Québec, the 132 East Credit : hdanne
The 132 Est is the most beautiful road of Gaspesia, and I got a chance to drive the best car on it.
I would like to talk with you about something that really makes me worried. As you know, I really like tourism and cars, I am therefore a huge fan of Road Trips. The thing is, it requires a car, so it’s considered as polluting.
This is my dream… Clarkson, May and Hammond are the luckiest Credit : Hyperbeast
But is a Road Trip more environmentally hurtful than taking a plane across the world ? The companies that plans and organises Road Trips are progressively disappearing with time. We are like a family, and way larger than you think. Do you think we’re spectators of the end of tourism ? Let me know…
While traveling on the Saint-Laurent coast by the 132 Est, my trip made me go through the city of Rimouski. As I’m in Matane, I’ve always heard about Rimouski: it’s one of the biggest places around. But what I didn’t knew about is that you can go for the visit of a submarine, in Rimouski. Yes, a submarine, in a city.
Yup… That’s a submarine… Credit : ici-raiod-canad
The beast is named the Onondaga, and it’s a real submarine that criss-crossed the Atlantic from 1967 to 2000.
The visit requires buying a 16$ ticket. And every single one of these are worth it. This is the only submarine you can visit in the whole Québec…
The first part of the visit is about the exterior of the submarine, to explain the main features : antennas, snorkel (as it’s a hybrid submarine, I’ll go to that in a minute), sonar… and everything related to the manoeuvrability : impellers, rudders, fins…
Then you finally enter the submarine and, oh boy… There are so much things… The visit is self-guided but enhanced by audio-tour. As I walked through the submarine, I was amazed by the incredible feeling of “It’s real…”. The submarine is shown in the exact same shape than when it was in service.
I won’t say anything more about the visit because I simply can’t. It’s indescribable. The way it looks, the way it feels inside… Visiting the Onondaga is a truly unique experience.
To sum up, I will highly recommend you to spend a good hour to discover the mysteries and the life inside a submarine. It’s really impressive to discover that 80 persons could live up to 3 months secluded from the wolrd.
I’m an 18 years old French Student living in Matane, Québec. Why am I here? I got the chance to fulfil a semester mobility with my university. I’ve been in Québec since August and I decided to create this blog to share my trip, discoveries and others adventures with you. But this blog will also be about future and studies, If you have questions, I could have an answer.
A quick overview of Matane’s surroudings… Credit : hdanne
So, what are you waiting for ? Join the community and let’s go!
J’ai eu la chance extraordinaire d’aller au Québec pour mes études. Rassurez-vous, votre fidèle serviteur ne vous a pas oublié. Au contraire, j’ai pensé très fort à vous quand il a pu mettre ses mains sur une superbe Lincoln Town Car de 2005.
Encore mieux, j’ai traversé une des plus belles routes du Québec en plein milieu de l’été Indien, la 132 Est. Toujours mieux ? J’ai fait le trajet avec deux amis avec qui nous avons pu discuter de la pluie et du beau temps. Bref, retour sur une expérience magique…
15 heures. Je retrouve mes deux compères à Québec.
Destination Matane, le GPS indique 408 kilomètres. Le temps de charger les bagages
dans l’énorme cave qui sert de coffre (580 litres !) et nous prenons place
à bord du paquebot. Première surprise, on s’enfonce dans les sièges d’un
moelleux absolument dingue.
Contact, le V8 4.6 démarre sans un bruit. Tout est tellement feutré… Même la
climatisation fait preuve de discrétion. Le confort semble être le maître mot.
Vous aviez du mal à imaginer la taille du coffre ? Cette photo en dit long… Crédit photo : Wheelsage
Les premiers tours de roue dans les rues de Québec ne se font pas sans crainte. Difficile de mener 5,62 mètres l’esprit tranquille quand les rétroviseurs touchent quasiment de chaque côté.
Voyage hors du temps…
Une fois extirpés des boyaux de la ville, on se retrouve sur les grands boulevards puis, rapidement, l’autoroute. Une seule chose à faire : activer le régulateur de vitesse et attendre. Ou plutôt profiter : profiter d’une insonorisation remarquable, d’une suspension d’une douceur incroyable, d’un V8 onctueux et souple. Isolés du monde extérieur, rien ne vient perturber notre confort.
En fait, c’est plus un paquebot qu’une voiture… La direction est floue, le comportement est flou, mais tout est doux… Crédit photo : Wheelsage
Je vous passe les kilomètres avalés dans une douceur sans
nom mais les kilomètres défilent et, après une pause bien méritée, arrivons sur
la partie la plus intéressante du trajet : la 132 Est. Les routes étant un
peu plus fournies en virages (ou moins droites, c’est selon), je me suis tenté
à une conduite plus dynamique. Erreur fatale. Le châssis est effroyablement
mou, la boîte est atrocement lente et le moteur est… il avance, mais pas
beaucoup.
Même le bloc compteur à été conçu pour le confort des yeux… Simple, éclairage reposant, couleurs claires… Crédit photo : Doug DeMuro
En fait, tout a été conçu pour le confort : on
retiendra plus la souplesse du moteur que ses 239 chevaux. Pareil pour la boîte
automatique à 4 rapports : incroyablement lente mais très fluide. Bref,
cette voiture n’est pas une sportive mais une routière infatigable. En même,
c’était prévisible, me direz-vous…
C’est mou, c’est moelleux, et on s’y enfonce inexorablement. Le rêve… Crédit photo : Wheelsage
Profiter de l’instant présent…
Retour à 90 kilomètres/heures et dans la douceur. C’est
alors que la magie opère. Nous découvrons une route magnifique, traversant une
sorte de vallée où tous les arbres se sont parés de leurs plus belles couleurs.
Du jaune au rouge en passant par l’orange, c’est un spectacle indescriptible
qui s’offre à nous. J’entrouvre les fenêtres. L’habitacle se retrouve embaumé
des senteurs de l’automne. L’air est frais et doux, ajoutez le velouté et la
douceur de la voiture et vous vous retrouvez dans un cocon ou rien ne peut
venir vous perturber. La nuit tombe. Les phares s’allument (automatiquement), la
Lincoln s’enfonce doucement dans la nuit, toujours sans montrer signe de
faiblesse.
Comme le disait Balavoine, « Dieu que c’est beau »… Crédit photo : hdanne
21 heures, nous arrivons à Matane, la tête pleine de
souvenirs. La beauté du paysage nous a bluffés, nous sommes encore sous le charme
de l’été Indien. Je gare la voiture au A&W, c’est l’heure d’un repas bien
mérité…
C’est quoi un SUV ? Dans l’idée, c’est un break qui perd sa longueur pour gagner en hauteur. Théoriquement, le concept pourrait être intéressant, mais dans la pratique…
On a voulu faire des petits 4×4 pour la ville, on finit avec
de pauvres tractions sous-motorisées. Le seul obstacle qu’elles peuvent
franchir, c’est un trottoir. Et encore…
Euuuh, qui à foncé dans un mur ? La face arrière est toute plate… Ah c’est normal ? Crédit photo : Wheelsage
Vous allez me dire, mais donc pourquoi cette haine viscérale envers les SUV ? Ils ne t’ont rien fait…
Justement, si. Ces infâmes armoires normandes sur roues ont pris le dessus sur les berlines, les breaks et même les voitures plaisir. Tout le monde veut son SUV, et le marketing des constructeurs ne se gêne pas pour vous faire savoir qu’il vous en faut absolument un. Sauf que personne ne réalise qu’un SUV vous prive d’absolument tout.
Non, sérieux, qui à eu l’idée de dessiner ce truc ? Et quelqu’un l’à essayé avant de le vendre ? Parce que question tenue de route, c’est une calamité… Crédit photo : Wheelsage
Le plaisir de conduite par exemple : une berline avec
un bon moteur et un bon châssis, c’est un bonheur à mener sur les routes. On virevolte
en appui dans les virages, on profite du centre de gravité assez bas pour avancer
à des allures parfois inavouables… Essayez de faire pareil avec un SUV :
comme c’est plus lourd, le moteur est à la ramasse, comme c’est plus haut, le
centre de gravité haut perché entraîne des mouvements de caisse et de roulis à
faire vomir, et dans les virages, ça s’affaisse et s’écrase lamentablement sur
ses appuis.
Tiens, ça m’énerve tellement que je vous laisse une petite
liste non exhaustive de pourquoi c’est nul :
Ça consomme et ça pollue plus qu’un break (et oui, une armoire normande n’est pas aérodynamique)
Ça coûte plus cher qu’un break (plus c’est gros, plus c’est cher…)
Ça coûte plus cher en entretien (la taille, encore une fois)
C’est moins confortable qu’un break (les suspensions sont soit molles à en vomir soit raides comme du bois…)
La tenue de route est mauvaise (le centre de gravité est plus haut donc ça tangue dans chaque virage)
Il n’y a aucun plaisir de conduite (allez vous amuser avec un veau de 2 tonnes… Seul L’Alfa Roméo Stelvio Quadrifoglio Verde est vraiment plaisant à conduire)
Si vous voulez plus de détails, je vous invite à lire ces articles d’Alternatives Economiques ou de Downshift, qui listent les inconvénients de ces choses…
Mais le pire dans tout ça, c’est que cette mode est
dangereuse ! Le SUV est haut sur pattes, donc les chances d’un piéton de s’en
sortir après une collision sont fortement réduites : on tape dans le torse !
En cas d’impact, pas de pitié. On défonce la cage thoracique et pis c’est tout. A vérifier mais je me demande si ce n’est pas pour la même raison que les pare-buffles sont interdits en France… Crédit photo : Wheelsage
Et en cas de collision sur la route, le centre de gravité en hauteur favorise les retournements voire les tonneaux… Et pis on va pas parler des manœuvres d’évitement, je préfère laisser parler les images…
Bref, je hais les SUV parce qu’ils sont une aberration. On veut un monde automobile plus sûr, plus respectueux de l’environnement et plus simple, mais on l’inonde d’énormes armoires qui consomment et dont la sécurité est moyenne… LOGIQUE.
4,961 mètres de long et 2,053 de large, un gros V8 atmosphérique 4.2 qui envoie 298 chevaux sur les roues arrière et une boîte automatique à 6 rapports. J’avais prévenu, c’est un gros bestiau : la Jaguar XF ne fait pas dans la dentelle.
Cette anglaise est une berline imposante, pourtant toute en
rondeurs. Des feux avant au capot nervuré, c’est agressif, mais subtil. Et ces
hanches ! Mon Dieu qu’elles sont belles. Je la trouve désirable, tellement
délicate, mais si suggestive… Le blanc cassé Cashemere de la carrosserie
la met particulièrement en valeur et les jantes Carelia de 19 pouces lui
confèrent un côté petit côté sportif, sans être vulgaire.
Le dessin de cette berline est superbe : des lignes tendues côtoient des courbes… Cette Jaguar est pour moi une œuvre d’art. Crédit photo : @maximebelluco
L’intérieur ne permet pas le doute, c’est une anglaise. Du
cuir, du bois, de l’aluminium, encore du bois, du cuir, encore plus de cuir,
toujours plus de bois… L’ambiance intérieure est pour moi typique des
productions d’Outre-Manche : la sellerie beige clair Ivory Softgrain
contraste avec le marron brillant des boiseries Burl Walnut, tandis que
l’aluminium apporte une touche de modernité dans ce salon qui perpétue la
longue tradition des berlines de luxe anglaises.
Du cuir, du bois, re du cuir, de l’aluminium, encore du bois, et revoilà du cuir… Crédit photo : @maximebelluco
Assez parlé, il est temps de prendre la route. Je pars de
Moulins pour aller me reposer dans une maison située un peu plus au nord de
Roanne. 115 kilomètres de départementales qui traversent le pays de la Loire,
1h36 pour tester cette berline full-confort.
La route sous un autre angle…
Pour résumer le voyage, je n’ai pas vu le temps passer.
Malgré presque 35 degrés dehors, on se sent toujours d’attaque pour avaler du
kilomètre, bien installé dans les somptueux sièges, pardon, fauteuils ventilés.
Il suffit de caler le régulateur (adaptatif, of course) à 93 compteur et
on profite alors d’une berline à la souplesse incroyable. Le paysage défile, tranquillement,
mais surement. Je profite de l’arrière-pays et de sa verdure, des champs à
perte de vue et du magnifique ciel d’un bleu profond. Le bonheur.
Les photos ne sont pas de moi, donc pas de ciel bleu… Crédit photo : Google Street View
Comme par hasard, la route est légèrement sinueuse. Voyons donc ce que titine a dans le ventre… Deux belles ruades du train arrière et quelques rugissements du V8 plus tard, j’ai ma réponse. BEAUCOUP. Et au final, on s’en fiche pas mal… Brutaliser cette voiture n’a aucun intérêt, ce n’est pas dans sa philosophie. Préférez-lui plutôt une conduite dynamique : c’est une anglaise…
C’est sur ce genre de routes que la Jaguar excelle : elle peut passer à des allures indécentes sans s’en rendre compte… Crédit photo : Google Street View
Au fil du temps, je me découvre à me laisser guider: j’ai l’impression qu’elle me dit quoi faire. Nous filons à travers les champs, virevoltons comme une ballerine dans les virages, et ce tout en douceur et sérénité… Vous vous demandez surement pourquoi je parle de « nous » ? Pour la simple et bonne raison que je ne fais plus qu’un avec la Jaguar. Elle me dit quoi faire, je la mène. La boîte de vitesse calée en mode manuel me permet de profiter du (très) généreux couple du V8, tandis que le châssis me guide dans mes trajectoires. Sans m’en rendre compte, je me retrouve à des allures bien supérieures aux limites autorisées. C’est simple : le temps s’est arrêté autour de moi. Normalement l’Homme commande la machine. Pas cette fois. L’expérience est unique, j’ai l’impression de vivre la route.
Le volant pour enchainer les courbes, deux palettes pour enchainer les rapports, deux pédales pour enchainer les kilomètres… Crédit photo : @maximebelluco
Si je devais résumer ces 115 kilomètres ? Un souffle, une caresse. J’ai adoré les routes de la Loire, je suis tombé amoureux de la Jaguar. Vivement le voyage retour…
Vous voyez la banane qu’à cette voiture ? Mais si, regardez ! La calandre, les petits phares… Et bien glissez-vous derrière son volant et vous allez vite voir cette banane migrer sur votre faciès. Cette voiture une séance de sport pour vos zygomatiques.
Le mois de mai est probablement un de mes préférés. Le printemps est là, les oiseaux chantent, le ciel est bleu, les températures sont douces… Bref, toutes les conditions sont réunies pour tester une icône du monde des Roadster, la Mazda MX-5. Trente ans que la recette est la même : un roadster deux places au poids plume avec un moteur nerveux et en propulsion. Trente ans que ça marche : plus d’un million d’exemplaires de cet adorable missile à petit budget auront trouvé preneur.
Le modèle qui passe entre mes mains est une troisième
génération (NC, pour les intimes) de 2008. Elle arbore fièrement la peinture Cherry
Black normalement réservée à la série limitée Kyudo.
Sous le capot, on retrouve un (indestructible) quatre
cylindres atmosphérique 1.8 de 128 chevaux et une boîte manuelle à 5 rapports.
Confortablement installés dans des sièges semi-baquets en cuir noir, on sent
tout de suite que cette voiture n’est pas faite que pour magasiner le
dimanche : le volant au diamètre parfait, les pédales rapprochées, le
petit levier de vitesses (au débattement ridicule) et les 5 cadrans du
« cockpit » mettent directement dans l’ambiance.
Un grand volant tout rond, un petit levier de vitesses, et des jauges à la verticale. Ça sent bon le sport… Crédit photo : @maximebelluco
Côté nature, le printemps est synonyme du retour des parfums
de la nature, des arbres en fleur… Du coup je file essayer la mimix’ dans
son environnement favori : les petites routes.
Bienvenue sur la route du Col de Rousset : en partant
de Romeyer, ce sont 20 kilomètres à travers forêts ; champs et montagne
qui vous guident à un panorama magnifique. Entre les épingles, les virages et
les lignes droites, le petit cabriolet va être mis à l’épreuve.
Je m’élance donc cheveux au vent (ce serait un crime de
rouler avec la capote…) à l’assaut du col.
Traitez-moi d’intégriste, mais je roulerai toujours décapoté. Même par -15°C Crédit photo : @maximebelluco
Les premiers tours de roue sur les petites routes campagnardes vous donnent tout de suite le ton : la boîte courte autorise des relances franches et vigoureuses, tandis que le châssis rivé au sol permet de franchir des virages à des allures peu recommandables. On en veut rapidement plus. Une fois la forêt atteinte, je profite de la mélodie des quatre cylindres. Rauque sans être irritant, il chantonne beaucoup en haut du compte tours.
Une ligne droite entre deux virages… Au diable la raison ! Crédit photo : Un Anglais en Diois
Je ralentis pour (re)découvrir le charme du village de Chamaloc. Maniable, agile, précise, il est facile de se faufiler dans les rues étroites pour s’arrêter admirer (et s’abreuver) auprès d’une petite fontaine-source venant du Glandasse. Cela dit en passant, je me rends compte que la MX-5 est assez confortable pour une utilisation quotidienne.
Dès la sortie du village, je rencontre la première épingle. Rétrogradage en seconde, l’avant du véhicule se place sans problème grâce à une direction hyper communicative. À peine sorti de l’épingle, je remets plein gaz. Le châssis est rivé au sol et le moteur se lâche jusqu’à 7.000 tours. On se prend rapidement au jeu d’enchainer les rapports pour foncer sur l’épingle suivante.
Arriver, rétrograder, planter les freins, tourner, et repartir. Et accessoirement, laisser le train arrière glisser… Crédit photo : Un Anglais en Diois
Le paysage est magnifique, les conifères défilent, les senteurs du printemps inondent l’habitacle et la voiture est extraordinaire. Arrivé au sommet, je me gare face à la vallée avec le sentiment de dominer les montagnes. L’endroit est idéal pour un pique-nique…
Dur de se rendre compte que les 18 kilomètres sont passés aussi vite depuis la forêt… Crédit photo : Un Anglais En Diois
Si j’ai encore votre attention, filez faire un tour sur le blog d’Un Anglais en Diois. Si jamais l’envie d’une ballade vous prend, vous pourriez trouver de quoi vous régaler…
J’ai toujours été fasciné par tout ce qui roule. Les premiers souvenirs qui me reviennent vraiment remontent à mes 5 ans, quand mon père me promenait dans sa Saab…
Ceci est une SAAB 9-5 Estate Vector Sport 3.0 TiD. Un nom compliqué pour dire « un gros break qui marche vraiment fort ». Crédit photo : Wheelsage
L’odeur et le toucher si particuliers du cuir, l’ambiance
verte digne d’un avion et surtout, le V6 turbodiesel qui animait ce gros break
de papa pressé…
Bref, là sont les débuts d’un amour inconditionnel pour l’automobile. Mais ce n’est pas que la voiture qui m’intéresse… C’est aussi la route qui va avec. Une voiture seule n’est pas extraordinaire. Une expérience de conduite sur route, ça, ça me fait vibrer…
La « Transfăgărăşan », élue plus belle route du monde… Crédit photo : Dariusz Grosa via Pexels